Pour éviter ces brusques réactions du système nerveux autonome, il faut avant tout respecter votre rythme ! Apprenez à accepter ce que vous êtes, et votre tête s'en portera bien mieux.
Stress et environnement
Bien souvent, c'est le stress qui est à la base de la crise, qu'il s'agisse d'un stress interne ou externe.
Une brusque chute du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie) constitue un stress interne, de même qu'une modification brutale dans les sécrétions hormonales (règles).
Les stress externes sont plus faciles à gérer. Prenez une personne à dominance parasympathique : toute la semaine, elle travaille et vit dans le stress, ce qui soutient artificiellement son système nerveux sympathique. Le week-end arrive, elle se relâche, le parasympathique reprend le dessus et... les maux de tête surviennent. Il arrivera la même chose à une personne sympathicotonique, à l'aise dans l'activité, si elle contrarie son rythme à l'excès.
Relâcher la pression, soulager les tensions
Pour remédier à ces problèmes, il faut avant tout apprendre à repérer les éléjf ments qui déclenchent la douleur :maux de tête du week-end ou du début des vacances : maux de tête à l'approche des règles ou à distance des repas ; maux de tête en cas de colère rentrée....
Il ne vous restera plus qu'à apprendre à vous respecter en prenant certaines précautions.
Par exemple :
- Si vous avez mal le week-end, ne passez pas brutalement de l'activité au repos. Prévoyez un samedi matin très actif (marché, jardinage...), puis ralentissez lentement le rythme.
- Au début des vacances, prévoyez deux ou trois journées de transition où vous continuerez à vous agiter, mais avec de moins en moins d'ardeur, jusqu'à ce que vous ayez trouvé votre rythme.
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